Qui est Caitlin Clark, la numéro une de la dernière draft WNBA ? 

Publié à 12h00

Dans la nuit du 15 au 16 avril, la draft WNBA (ligue féminine de basket aux États-Unis) a eu lieu à New York. Et comme attendu par beaucoup d’experts, Caitlin Clark a été choisie en numéro un par les Indiana Fever. Mais qui est cette jeune américaine qui bat tous les records ? 

Comme Victor Wembanyama l’année dernière, Caitlin Clark a été choisie en numéro un de la draft, mais cette fois-ci, féminine. Grande figure de la NCAAW, Caitlin Clark arrive enfin en WNBA à 22 ans. La native de Des Moines, dans L’Iowa, était très attendue dans le championnat américain grâce à ses performances XXL. En mars dernier, la meneuse est devenue la meilleure marqueuse de l’histoire de la Division 1 – le plus haut niveau universitaire – et ce fille et garçon confondu accumulant 3 771 points. 

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Des records et avec la manière

Cette saison, les salles étaient quasiment toutes remplies pour voir une joueuse : Caitlin Clark. Et les spectateurs venaient souvent l’admirer pour qu’elle pulvérise des records. Comme celui de la joueuse à avoir atteint le plus rapidement la barre des 3 000 points et des 1 000 passes décisives, ou encore celui du plus grand nombre de trois points inscrits sur une saison (163). 

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Une arrivée en WNBA fracassante

Dans la nuit du 15 au 16 avril, tous les connaisseurs de la ligue américaine féminine de basket savaient que Caitlin Clark allait être le premier choix de la draft. Et tout était déjà prêt, le maillot floqué avec son nom et son numéro ou encore sa vidéo de présentation pour rejoindre les Indiana Fever. Seulement une heure après la draft, tous les maillots disponibles floqués au nom de la nouvelle meneuse d’Indianapolis ont été vendus, il ne restait plus que des tailles enfants. Celle qui a gagné deux fois d’affilée le Wade Trophy (2023-2024) – qui récompense la meilleure basketteuse universitaire de la Division 1 chaque année – arrive alors en WNBA avec la «Caitlinsanity» (la folie Caitlin Clark). Une fusion de mot qui fait alors écho à la « Wembamania » qui faisait fureur cet été en NBA.