Les effets du réchauffement climatique sont suspectées d’avoir des conséquences considérables sur les oiseaux. Des naturalistes ont pu observés ces dernières années des répercutions irréversibles suite à ce dérèglement climatique ; diminution de la taille des oiseaux au fil du temps, disparition d’espèce, changement d’air de répartition, périodes due reproduction décalées etc… Mais certains acteurs essaient à leurs échelles d’apporter leurs aides à la biodiversité et de préserver aux maximum les espèces menacés.
De plus, dans le Wall Street Journal, les naturalistes expliquent qu’en effet les oiseaux migrateurs sont déjà confrontés à de nombreux risques liés « au monde moderne » et qui affecteraient leurs croissances. Parmi ces risques résident d’une part , la disparition de leur lieu de nidification, et le changement d’air de répartition des oiseaux, qui font partis de ces nombreuses autres conséquences. Sarah Pischiutta, directrice du GON, une association d’étude de valorisation et de protection de la faune sauvage des Hauts de France, nous explique le phénomène du décalage phonologique « Pour certaines espèces d’oiseaux, nous pouvons contacter grâce à des études et un suivi de plusieurs années, que ces espèces ont du migré plus au nord » « Mais aussi que leurs périodes de reproduction se décale dans le temps ».
Heureusement certains acteurs proposent des solutions à leurs échelles, c’est le cas de Brieuc Kerisit, biologiste, qui a décidé de créer Béké Biodiversité deux ans auparavant, en reliant recyclage et biodiversité. A partir de palettes recyclées il construit des nichoirs pour les oiseaux.
C’est notamment à travers ces ateliers de construction que Brieuc tente de faire évoluer les mentalités. L’objectif étant de permettre à chaque individu de contribuer à son échelle à la préservation des espèces menacées.
Cicero Marie.